A PROPOS DE L’ADOPTION D’UNE NOUVELLE VALEUR DU NOMBRE D’AVOGADRO : L’ERREUR À NE PAS FAIRE

L’ancien et le nouveau nombre d’Avogadro traduisent les deux phases d’un même phénomène cosmique ! Supprimer l’ancien au profit du nouveau sera une grave erreur !

La Conférence générale des poids et mesures (CGPM), à sa 26e réunion de novembre 2018, a abouti à d’importantes décisions dont, entre autres, l’abrogation des définitions de certaines unités comme la seconde, le mètre, le kilogramme, l’ampère, le kelvin, la mole, la candela, etc.

La mole, cette ancienne unité de mesure de la quantité de matière du système international SI est associée à un célèbre nombre, le nombre d’Avogadro. La conférence a décidé qu’à compter du 20 mai 2019, la constante d’Avogadro serait égale à exactement : NA = 6,022 140 76 ×10^23 mol-1. Cette nouvelle valeur remplacera celle d’avant qui est NA = 6,022 140 857 74 ×10^23 mol−1. L’écart est de 9 774 x10^12.

Très admiratif de la très excellente précision de ces deux valeurs, et après une sérieuse analyse, il me paraît important d’attirer l’attention de la Conférence pour éviter que ce grand pas de la science nous ramène des années en arrière à cause d’une incompréhension du phénomène cosmique en action.En fait, il s’agit d’un phénomène qui se met parfaitement en phase tantôt avec les fréquences des électrons, tantôt avec les fréquences des protons. Ces deux nombres sont tellement si corrects et si précis qu’il est même possible de calculer exactement les valeurs de l’électron et du proton du point de vue de l’harmonie universelle si l’on connaît le rapport ( R ) entre proton et électron. (Cf. calcul sur tableau ci-après).

Le plus important à retenir ici est que le couple (2 ; 8) auquel on aboutit par ces valeurs constitue les seules et uniques valeurs permettant la passation automatique de rôles entre l’ADN de l’Univers et nos ADN individuels sans intervention du cerveau.

Il est donc clair que le nombre d’Avogadro traduit plus d’autres réalités et grandes lois cosmiques que la seule quantité de matière à laquelle l’a associé la science moderne jusqu’à ce jour. Laisser l’ancien nombre au profit du nouveau sera comme supprimer une importante phase d’un phénomène qui en a deux. Qui plus est, il est important de savoir que c’est l’ancien nombre d’Avogadro qui, de par sa puissance, a la commande dudit phénomène cosmique. Dire tout simplement Nombre Avogadro 1 et Nombre d’Avogadro 2 (ou petit et grand) nombre d’Avogadro sera un géant pas de la science vers la description théorique de la nature au plus haut niveau.

Le jour où, comme elle vient de le faire pour le Nombre d’Avogadro, la Conférence retiendra les réelles valeurs de l’électron, du proton et du neutron parmi toute la kyrielle actuelle, ce jour-là s’ouvriront devant elle les plus grands secrets de l’Univers.