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LES BASES DE L’ADN UNIVERSEL OU INDIVIDUEL SONT EXACTEMENT LA LECTURE INVERSÉE DES 256 SIGNES DU FA

RÉSUMÉ

La célèbre fonction « lecture inversée » encore inconnue des scientifiques révèle que les 4 bases de l’ADN humain ou universel peuvent être calculées à partir des 256 signes de l’art divinatoire FA. Nul doute que le fameux nombre de la bête (666) vient aussi de l’écart entre l’ADN et l’ARN. Prenez-en conscience !

DÉVELOPPEMENT

Très peu de gens accordent à l’art divinatoire FA la place qu’il mérite réellement. S’il en est ainsi, c’est parce que les humains, exactement comme dans les autres sciences, ont pour la plupart transformé le FA en un système d’escroquerie, très souvent inconsciemment. À chaque signe FA correspond exactement une case d’élément chimique du tableau de Mendeleïev. Y a-t-il une science plus SCIENCE que cela ?

EN VOICI LA DÉMONSTRATION MATHÉMATIQUE

Notre rôle étant, entre autres, de réconcilier les sciences diverses, les religions et les philosophies par des explications mathématiques incontestables puisque vérifiables, il nous paraît important et nécessaire de vous révéler aujourd’hui l’origine des 4 bases ADN, cosmique ou universel.

La méthode est très simple ! D’abord, rappelons-nous que le corps humain est constitué de 47 éléments chimiques ! En additionnant simplement les 256 signes du FA en respectant leur position gauche et droite vous trouverez exactement 425605 et 426625 dont les réductions donnent respectivement 4 et 7. Mettez 4 et 7 ensemble en respectant leur place et vous avez le nombre 47.

N’oubliez pas aussi 7 et 4 sont les deux forces de l’Univers retrouvables avec la répartition des 118 éléments chimiques actuellement répertoriés !

Mieux ! Combinez les parties gauches et droites de chacun des 256 signes FA et faites-en « une lecture inversée ». La « lecture inversée » consiste à calculer pour chaque nombre combiné x d’un signe la valeur N(x) = 8x(8x+1)/2.

Quand ce nombre N commence par un nombre impair on dit que son index est 1. Quand il commence par un nombre pair, son index est 2.

Pour voir si un signe pouvait être oui ou non accepté dans le corps s’il était un élément chimique on le partage dans les domaines physique et métaphysique par la constante de partage de rôle K (9 612 579 511) par les calculs suivants

Domaine physique : P = 9612579511 Mod x
Domaine physique : M = -9612579511 Mod x

Vous constaterez qu’un tableau dynamique résumant l’acceptabilité des signes (oui ou non) s’ils étaient des éléments chimiques, et leurs index aboutit exactement aux nombres réduits des 4 bases ADN, à savoir 7, 3, 6 et 4. (Voir tableau ci-dessous).

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Rappelez-vous aussi que dans un article précédent « LES MATHÉMATIQUES DE DEMAIN : ½ = 256 » nous avons déjà démontré comment les mêmes nombres réduits 7, 3, 6, 4 sont les solutions de l’équation d’or (proportion divine) du plan physique x² – x – 1 = 0.

Comme (2;8) et (3 ; 5) sont les couples de fréquences de l’ADN et de l’ARN respectivement, leurs fonctions atomiques étant 346 et 391, il y a un écart de 45 entre eux. Le nombre le plus proche et en parfaite harmonie avec 45 est 36. C’est la plus grande valeur contenue dans le tableau des 4 fonctions de l’atome.

ecart-adn-arn
Quand on sait que la somme théosophique de 36 est exactement 666, à savoir 36×37/2 = 666, il est fort probable que le fameux « nombre de la bête », 666, vient aussi de là.
Que votre savoir vous libère !
À bientôt

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